. La corbeille d'oranges, ou Le page de Schoenbrun, comédie en un acte, en prose, mêlée de couplets . vous fesais épouser Fritz ? MARIE. Ah ! alors, je vous LE PAGE. Eh bien ! cest ce que je veux faire. MARIE, sautant de y possible ? LE PAGE. Oui, cest .Mais diies-moi y que me donnerez-vous ? MARIE. Ce que je vous donnerai?... rien. LE PAGE. oh! cest trop peu. MARIE. Air : Il y a cincjuante ans et plus^û Fritz moblige bien souvent , Et nveul jamais aucun gage j Comm vous êtes exigeant ! * Fi ! qucest vilain (bis.) à votre â LE PAGE. ^ Fritz est bie
. La corbeille d'oranges, ou Le page de Schoenbrun, comédie en un acte, en prose, mêlée de couplets . vous fesais épouser Fritz ? MARIE. Ah ! alors, je vous LE PAGE. Eh bien ! cest ce que je veux faire. MARIE, sautant de y possible ? LE PAGE. Oui, cest .Mais diies-moi y que me donnerez-vous ? MARIE. Ce que je vous donnerai?... rien. LE PAGE. oh! cest trop peu. MARIE. Air : Il y a cincjuante ans et plus^û Fritz moblige bien souvent , Et nveul jamais aucun gage j Comm vous êtes exigeant ! * Fi ! qucest vilain (bis.) à votre â LE PAGE. ^ Fritz est bien de son Près de fille au doux maintienVous devez savoir quun Page , ) z -Ne fait jamais rîen pour rien. 4 MARIE. Dam Monsieur ; je ne savais pas ça, De lamitié ? l3 Même air. Quest-c qui vous frait ben plaisir?3ons des fruits et du laitage^JpouvoDs encor vous offrirDTamitié {bis.) le simple hommage. LE PAGE. y . Ah ! ah ! ah ! ah ! Suite de Vain Belle, il me faut davantage ,Pour que je vous serve bien : Vous devez savoir quun Page )^Ne fait jamais rien pour rien, j. bis» MARIE. Mafine ! Je ne savons que vous donner , vous refusez LE PAGE. Oh ! il y a quelque chose que vous ne mavez pas offert, etque je ne refuserais pas. ^ Quoi?Un baiser. MARIE. LE PAGE. MARIE. Un baiser ? oh ! pour ça Fritz nen aurait pas. .. ainsi. LE PAGE. Fritz y à la bonne heure. • . mais moi. MARTE. Ecoutez ; si vous parvenez à me faire épouser • je vouspromets un baiser le lendemain de mon mariage. LE »AGE. Le lendemain ! que voudriez-vous que jen fisse ? MARIE. Eh bien ! Monsieur, vous nen naurez pas du tout. • .puisquevous êtes comme ça. LE PAGE. Prenez au lieu dun jen exigerai deux. ( II la lutine pendant tout le reste de la scène. )MARIE. Cest ce que nous verrons. . LE PAGE. Ah ! parbleu ! cest ce que nous allons voir tout de suite.( Il court après ellç, ) 4 MARIE. .( Fritz parait, dans ce moment, dans le fond d
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