. Encyclopédie d'histoire naturelle; ou, Traité complet de cette science d'après les travaux des naturalistes les plus éminents de tous les pays et de toutes les époques: Buffon, Daubenton, Lacépède, G. Cuvier, F. Cuvier, Geoffroy Saint-Hilaire, Latreille, De Jussieu, Brongniart, etc. etc. Natural history. ôi HISTOIRE NATURELLE. moi. Ses [lieds sont ubsuiiimeiil les niènios que eenx du Glaucope eeudri", cet Oiseau de la Nouvelle- Zélande, remarquable par deux petites caroncules tomliantes au coin du bec, comme chez nos Pin- tades. Or, on sait que les Glaucopes sont des Oiseaux e
. Encyclopédie d'histoire naturelle; ou, Traité complet de cette science d'après les travaux des naturalistes les plus éminents de tous les pays et de toutes les époques: Buffon, Daubenton, Lacépède, G. Cuvier, F. Cuvier, Geoffroy Saint-Hilaire, Latreille, De Jussieu, Brongniart, etc. etc. Natural history. ôi HISTOIRE NATURELLE. moi. Ses [lieds sont ubsuiiimeiil les niènios que eenx du Glaucope eeudri", cet Oiseau de la Nouvelle- Zélande, remarquable par deux petites caroncules tomliantes au coin du bec, comme chez nos Pin- tades. Or, on sait que les Glaucopes sont des Oiseaux essentielleujeiit niarelieurs, et que Cook les avait pris pour des espèces de Poules la premieie fois qu'il les vil à terre, sur les ( ôtes de la Nou- velle-Zélande )i iMaçi. zool., 1855.) Sans discuter ici le mérite et la justesse de ce rapproclienieiit, auquel les caractères physiolo- giques et de mÅurs que nous avons exposés ci-dessus semblent répondre sullisamment, nous ajoute- rons que Cuvier rangeait le Glaucope dans ses Conirostres, entre les genres Colion et Pique-Boeufs; que Lessoii et M. Cray, d'après lui, en ont fait le type d'une famille dans les Corvidés, l'un sous le nom de Glaucopes, l'autre sous celui de ûna'; et qu'enfin M. Cli. Bonaparte l'a placé dans sa famille des (jarrulïdÅ. Nous avons hésité longtemps nous-méme à comprendre le Glaucope dans notre famille des Néo- morphinés. Mais, en comparant entie eux chacun des quatre genres qui le composent, surtout l(s trois derniers, il nous a été impossible de ne pas reconnaître identité parfaite de caractères, quant à la présence de l'appendice caroncidaire, à la conformalion des pattes, et surtout à celle de la queue, qui est exactement la même chez le Glaucope que chez le l'Iiileslurne; les pennes de ce dernier organe, ainsi que le disent d'une manière si expressive Quoy et Gaimard. étant terminée
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