. La corbeille d'oranges, ou Le page de Schoenbrun, comédie en un acte, en prose, mêlée de couplets . votre bonhomieOn va rire partout 5Avec fille jolie11 faut sattendre à tout. h FRITZ, à part m GUTTLER. Te suis rérfgné. Bah ! bah! parce quon a envoyé une corbeille doranges!Danstout cela, je ne vois que des oranges. LE PAGE, avec importance. ^ , i . Tant pis pour vous si vous ny voyez qjc cela j {Qu^nt à 101^jy vois lorigine de la faveur la plus distuiguée. FRITZ. Vous entendez ; mon père. LE PAGE Monsieur Guttler , si comme moi vous viviez à la Cour; >uicntiriex toutes ies conséquen


. La corbeille d'oranges, ou Le page de Schoenbrun, comédie en un acte, en prose, mêlée de couplets . votre bonhomieOn va rire partout 5Avec fille jolie11 faut sattendre à tout. h FRITZ, à part m GUTTLER. Te suis rérfgné. Bah ! bah! parce quon a envoyé une corbeille doranges!Danstout cela, je ne vois que des oranges. LE PAGE, avec importance. ^ , i . Tant pis pour vous si vous ny voyez qjc cela j {Qu^nt à 101^jy vois lorigine de la faveur la plus distuiguée. FRITZ. Vous entendez ; mon père. LE PAGE Monsieur Guttler , si comme moi vous viviez à la Cour; >uicntiriex toutes ies conséquences dun pareil cadeau. j î) 25 Avec un peu dinclulgfnce ^Lorsquun Priuce nous sourît,Soudain, chacun nous f ncense ,Et pour nous tout sembellit ;Avoir un ctétUt immense ,Sélever au plus haut i^ng,Cest laffaire dun moment. Vous entendez , mon père. FRITZ. Oui ^ je sais cela. • «mais. GU TTLER. Même air» Par une chance commune,A la Cour , on voit souventQtte notre éclat importuneMaint habile courtisan :On perd crédit et fortune 5On retombe lourdement \Cest laffaire dun LE PAGE. Malgré vos beaux raisonnemens, je vois toujours, pour la petiteîilarie , une bien belle perspective. FRITZ. Vous entendez , iron père , une bien belle G U T T LE B. Est-ce que je pouvais prévoir ce qui vient darriver ? LE PAGE. Pensez y bien M. Gultler; qui snil ce q^ie peut devenir uneDetite fille protégée par lEmpereur. Je ne serais pas étonné quelUlevînt bientôt une grandie darne. G UT T LER. Quand vous me direz cent fois la même chose, le mal est fait. LE PAGE. Je vous dis cela par intérêt pour vous , pèreOnttler. Votre filsaime beaucoup la petite iVlarie ; ie crois que la petite laime beau-coup .cela aurait fait un bon mariage. FRITZ. Vous entendez, mon père , un bon mariage. G u T T L E R. Eh bien! que veux-tu mon garçou; puisque tout est rompvijil n*y faut plus penser. • • 24 LE PAGE. Je mintéresse à vous , père Gutiler;


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