Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . n. f. Vieille femme décrépite et grondeuse : Plus laidesque des guenons, plus sottes que des uouhocs. (Lo [Vieux.] ^ — n. m. Nom vulgaire, en Algérie, dune variété decoucou originaire de r.\fri<iuo septentrionale. HOUIGHEPOTE n. f. Pâte de farine ot de fruits cuits àleau, en usage dans la Vendée. 168 HOUILLE {hou-ill [h asp., et II mil.] — mot wallon, ) n. f. Substance minérale amorphe, souvent feuil-letée, généralement noire, et classée parmi les charbonsfossiles. Il Houille compacte, Houille chargée dh
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . n. f. Vieille femme décrépite et grondeuse : Plus laidesque des guenons, plus sottes que des uouhocs. (Lo [Vieux.] ^ — n. m. Nom vulgaire, en Algérie, dune variété decoucou originaire de r.\fri<iuo septentrionale. HOUIGHEPOTE n. f. Pâte de farine ot de fruits cuits àleau, en usage dans la Vendée. 168 HOUILLE {hou-ill [h asp., et II mil.] — mot wallon, ) n. f. Substance minérale amorphe, souvent feuil-letée, généralement noire, et classée parmi les charbonsfossiles. Il Houille compacte, Houille chargée dhydrogène. — Encycl. Géol. La houille ou charbon de terre brûleaisément au chalumeau. Son poids spécifique varie de 1,25 à1,35 ; sa dureté, de 2 à 2,5. A la distillation, elle donne deshuiles hydrocarbonées volatiles, de leau, du goudron, dugaz déclairage et de lammoniaque; le résidu est un corpstrès poreux, qui est le coke. Lorigine végétale de la houille est reconnue depuislongtemps. On attribua dabord son existence à lenfouis-. , SphenoplcrisecujJiens aeniaïa- sèment sur place de forêts et à leur carbonisation lenteà labri de lair. La présence de racines ou stigmaria à labase des couches, dempreintes de feuilles à la partie su- Férieure ou toit, enfin do tiges debout, constatées dansépaisseur des schistes et des grès houillers, devaientporter la pensée des géologues vers dos forêts surprisesdans leur prospérité par un affaissement du sol, un en-vahissement des eaux et un alluvionnement progressifde sables et dargile. Mais GrandEury constata que le charbon de terreétait formé déléments végétaux posés à plat les uns surles autres, comme sils avaient été accumulés par char-riage. Plus tard, Fayol étudia avec soin la houille du bas-sin de Commentry, et montra (^ue la position verticale destiges nimpliquait pas nécessairement lenfouissement surplace. En outre, il reconnut que, dans une eau courante, ilse produit au
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