. Revue générale des mati`eres colorantes et des industries qui s'y rattachent . ©gom-mage (fig. 6 et 7) et de lentortillementdes soies écrues qui ont une apparencetout à fait différente (fig. 8, 9 et 10). Egalement ils considèrent sans fonde-ment lassertion du professeur Lenticchia,de Como, que les soies cultivées en Italiesont plus sujettes à ce défaut de perlageque celles dautres pays, et citent lopinionde M. Sisley qui dit : « Lopinion expriméepar le professeur Lenticchia. suivantlaquelle ce défaut ne se rencontrerait passur les soies asiatiques, avons renco
. Revue générale des mati`eres colorantes et des industries qui s'y rattachent . ©gom-mage (fig. 6 et 7) et de lentortillementdes soies écrues qui ont une apparencetout à fait différente (fig. 8, 9 et 10). Egalement ils considèrent sans fonde-ment lassertion du professeur Lenticchia,de Como, que les soies cultivées en Italiesont plus sujettes à ce défaut de perlageque celles dautres pays, et citent lopinionde M. Sisley qui dit : « Lopinion expriméepar le professeur Lenticchia. suivantlaquelle ce défaut ne se rencontrerait passur les soies asiatiques, avons rencontré certaines qualités desoies originaires du Japon, qui donnaientlieu très facilement à ce défaut. » A linstance de k Commission pour lesétudes sur la soie, le laboratoire de Mi-lan a examiné les cocons des principalesraces cultivées en Italie, pures et croisées,et par les recherches exécutées sur les pro-duits des récoltes de 1895 et 1896 il ne ressor-tit pas que les soies italiennes aient une tendanceplus grande à seffiler dans les opérations dela Fig. 6. â Soie dégommée effilosée. On eut une nouvelle confirmation de ce lait,en examinant une nombreuse série déchantil-lons, de provenances diverses, qui furent dégom-mées et teintes dans les mêmes conditions etsur lesquelles on a compté le nombre des flo ANTONIO SANSONE. â SUR LE PERLAGE OU EFFILOSAGE DES SOIES TEINTES SSy consen étendant lesobservations aussiauxsoiesétrangères et à mètres de filé. De cesessais, il résulte que le nombre moyen des flo-cons rencontrés après le déf^ommagesur ètres de soies grèg-s étrangères était de 142pour chaque mètresde fil, tandis que dansles soies de provenance italienne, dé-terminé par des essais de mè-tres, il se limita à gi p. mètres et,en voulant se rendre compte des résul-tats obtenus, dans
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